L'achat et la vente de logements enregistrent son meilleur semestre depuis 2008

1 sept. 2017

Jusqu'en juin, il y avait 235 672 opérations, soit 13,15% de plus qu'au premier semestre de 2016

Madrid 8 AGO 2017 - 15:23 CEST

La vente de maisons commence à courir plus vite les années les plus dures de la crise et enregistre jusqu'à sa meilleure moitié Juin depuis 2008. Au cours des six premiers mois ont représenté 235,672 transactions, selon l'INE. Un chiffre beaucoup plus élevé qu'au deuxième semestre de 2013 (140 747 transactions), ce qui représente une croissance de 13,15% par rapport à la même période de 2016. Malgré cela, le secteur est encore loin du niveau de pré-crise, Lorsque plus de 400 000 foyers ont été vendus par semestre. "Il n'y a toujours pas de véritable risque de bulle", explique Jose Luis Ruiz Bartolomé, analyste immobilier.

Un couple regarde des annonces d'appartements dans un immobilier à Madrid LUIS SEVILLANO

La vente de logements continue d'augmenter. Au cours des six premiers mois de l'année, 235 672 opérations ont été achevées, en hausse de 13,15% par rapport au premier semestre de 2016, selon l'Institut national des statistiques (INE). La reprise du secteur de l'immobilier a commencé juste après 2013, alors qu'elle ne touchait que 312 593 opérations tout au long de l'année. "Les données pour les six premiers mois sont très bonnes pour le secteur et ont été le meilleur juin depuis 2008", souligne Fernando Encinar, responsable des études idéalistes.

Malgré la croissance, les analystes conviennent que, pour le moment, il n'y a aucune trace d'une nouvelle surchauffe dans la brique. "En pourcentage augmente beaucoup, mais parce qu'il provient de niveaux très bas. Sont assumable par les chiffres du marché « , affirme Emilio González, professeur d'économie à Icade. La crise inmobiliariaes si récente que les alarmes de saut en hauteur de croissance se manifestent. Cependant, selon Ruiz Bartolomé, d'être la production d'une nouvelle bulle à nouveau Au moins l'un des aspects suivants devrait être donné: "Qu'il y ait une nouvelle incitation fiscale à l'achat ou que la banque réduise les critères d'octroi des prêts hypothécaires".

Vente de logements usés

La reprise du secteur s'explique principalement par trois raisons: la demande cumulée accumulée pendant les années de crise; Il provient de chiffres de ventes très faibles; Et il existe une amélioration économique qui peut être observée au niveau de la rue. «L'économie familiale s'améliore. Il y a une certaine stabilité et permet de réaliser des plans d'achat ", explique Ruiz Bartolomé.

Au cours des années de crise, les ventes de logements neufs et usés se situent à des niveaux similaires. En 2009, plus de maisons neuves (109 706) ont été vendues que utilisées (94 605). Cependant, cette tendance a changé dans le passé. Maintenant, les opérations d'occasion sont ce qui conduisent le secteur. Ces transactions ont quadruplé au premier semestre de l'année de nouvelles ventes de maisons. Cela ne signifie pas que les ventes de nouvelles constructions ont coulé. «Ils augmentent de 20% en glissement annuel (en juin), ce qui montre une certaine reprise dans des domaines très spécifiques où la demande est très élevée et le produit est rare», explique Encinar.

Le marché de l'immobilier vise donc la normalisation avec la réduction du stock accumulé disponible: "Il est normal de vendre plus d'occasion, c'était toujours comme ça. Depuis 2007, il y a eu un excès dans les nouveaux logements vacants disponibles en raison de la crise, explique l'analyste Ruiz Bartolomé.

Compte tenu uniquement des données de juin, la vente et la vente ont augmenté de 19,3% par rapport au même mois de l'année précédente, selon l'INE rapporté mardi. À cela s'ajoute l'avance qui a eu lieu en mai (23% de plus en glissement annuel), qui représente déjà deux mois consécutifs d'augmentations extraordinaires dans les transactions domiciliaires. En fait, les deux données enregistrées sont les meilleures depuis février 2011.

Selon la répartition géographique des opérations immobilières en juin, l'Andalousie a dirigé le nombre de ventes de logements (8 551 transactions). Ils sont suivis par la Communauté de Madrid (7 298) et la Catalogne (7 039).

En tenant compte du nombre d'opérations par 100 000 habitants, les meilleurs ratios sont donnés à Baléares (165), à la Communauté Valencienne (159) et à la Communauté de Madrid (144). "Cela montre le poids de l'achat de maisons secondaires dans les résultats des statistiques", explique Encinar.

Les entreprises autonomes qui ont connu le plus grand nombre de ventes de logements en juin étaient Navarre (40,2% de plus), La Rioja (40,1%) et Communauté de Madrid (32,6%), bien au-dessus La moyenne enregistrée en Espagne (19,3%).

VOLUME TOTAL D'EXPLOITATION Jusqu'à 9,7% EN JUIN

En juin, 166 830 fermes rustiques et urbaines (y compris les habitations et autres bâtiments de nature urbaine) ont été transmises. Cela représente 9,7% de plus qu'au même mois de 2016, selon l'INE.

Le nombre de ventes de propriétés rurales a augmenté de 5,9% en juin, pour s'établir à 11 620 opérations. Dans le cas de la vente de propriétés urbaines, l'augmentation était de 20,8%, jusqu'à 76,41.

En juin, le plus grand nombre de fermes transmises pour 100 000 habitants se sont produites à La Rioja (669), Castilla y León (652) et Castilla-La Mancha (607).